La dictature mexicaine qui s’avance :
« Il faudrait demander naïvement à Calderón pourquoi il nourrit une relation apparemment si forte avec García Luna. J’irai plus loin, au risque d’offenser une présidence si sensible aux questionnements publics : pourquoi Calderón est-il sous l’emprise de García Luna ? Il va jusqu’à promouvoir une réforme constitutionnelle qui, en définitive, ferait de ce fonctionnaire le chef de toutes les polices du pays. Depuis le début de son mandat, sous prétexte de mettre au cœur de son action la lutte contre la criminalité organisée, Calderón a dangereusement laissé le champ (...)