Bien résumé.
En somme il manque dans cet entretien une analyse beaucoup plus détaillée, précise, différenciée de ce « gouvernement par la culture », qui est une réalité. Ici on en reste à une sentence générale « la culture aujourd’hui en vigueur est un instrument de domination ». OK, mais ça ne nous avance pas beaucoup, d’autant que ça a été toujours plus ou moins le cas (j’ajoute qu’on pourrait appliquer ce genre raisonnement à n’importe quel autre champ d’action - et même à la sociologie universitaire). Il faudrait comprendre la singularité de notre époque à ce sujet, les diverses formes que prend cette (...)