Oups, je corrige de ce pas, ça la fout mal, le tout dernier mot du billet... (en même temps, le lapsus est révélateur : c’est bien une autre « voie » que l’on cherche)
Pour le reste, merci de ton intervention, tu résumes bien les choses : Le cristal limpide d’une parole qui a vraiment ’’vocation’’ (pas meilleur mot) à exercer son humanité, en d’autre termes, la force poïetique, agissante, de la parole, est balayée, battue en brèche, par la très énorme vulgarité des aboyeurs en mal de pourcentage de marché, la signature tangible d’un discours qui porte étant évaluée ’’par principe’’ à son équivalent (...)