Ils sont rigolos, ces grands gaillards sombres, quand ils osent sortir des leurs carcans et de leurs murs, on les voit un peu maladroits, fuir au moindre bourdonnements d’abeille, alors qu’ils sont capables de voir un type se faire tailler pour une histoire d’insultes... un paradoxe, si humain, qui à la fois m’attendrit et m’effraie, me donnerait envie à la fois d’avoir une armure indestructible et des milliers de bras pour étreindre...