Il me semble que du soutien inconditionnel à Thaksin des premières semaines, on en est aujourd’hui, côté rouge, à des revendications un peu moins de soutiens à un ancien premier ministre que, par ailleurs, je ne soutiens nullement. Je soulignais d’ailleurs que l’impopularité de thaksin était tres partagée. Ce qui explique sans doute les premiers soutiens populaires aux jaunes. Les rouges ne sont nullement homogènes et je me garderai d’en parler comme d’un groupe unilatéralement progressiste mais : il y a tout de même un clivage social et des revendications précises et, par ailleurs, une fois que le chef (...)