@ Scarfanti Vous écrivez au début de cet éloge de Raymond Cousse : « Le murmure des voix macabres : Raymond Cousse y a cédé un nuit de 1991, où il mit fin à ses jours après une fête de réveillon. Cousse n’était pourtant pas lâche. » Cette dernière phrase est sidérante ! Vous croyez donc que ceux qui se suicident sont des lâches ? Étrange…