Mais, mais, mais,...l’enculade de la speakrine c’est le petit moment de plaisir avant l’étêtage Ô combien plus douloureux (j’imagine). Pour ma part, si l’auteur avait choisi un speaker du 20 heures sodomisé par une lesbienne féministe (avec, bien sûr, l’ustensile approprié), du moment qu’il fut étêté à la fin, le plaisir reste entier.