Désolé, joseph : à l’heure où j’ai lu ton commentaire je n’étais pas encore au courant de cette pitoyable affaire, je croyais que tu parlais de « célébration » en général.
Mais je ne suis pas sûr que Céline aurait chié dessus : il était très avide de reconnaissance. Dans les dernières lettres qu’il adresse à Gaston Gallimard, après que Paulhan a jeté l’éponge et refuse de poursuivre sa correspondance avec pareil mauvais caractère, Céline s’offusque de ce que son œuvre ne reçoit pas assez de publicité, et il presse l’éditeur de le publier en Pléiade (voir Lettres à la N.R.F. (1931-1961), Gallimard, (...)