Là où certains voient une « victoire » ou encore un « coup de maître » de la diplomatie française sous l’impulsion de l’ « omni-président » Sarkozy, je n’y voit personnellement que honte et exaspération.
Tout d’abord, il y a une étrange relation entre le sommet à Paris des « bons démocrates » du samedi 19 mars et les premiers tours des élections cantonales ayant lieu le 20, soit le lendemain. A posteriori, on peut affirmer que l’effet escompté n’a pas eu lieu, les voix n’ont en effet pas bénéficier à la machine de guerre (c’est maintenant officiel) UMP, mais bien pire : les vautours du FN planent aux second (...)