...même pas les « anti-charlie », mais « ceux qui ne sont pas charlie ».
la nuance est de taille parce que ça fait beaucoup plus de monde, du coup... ils étaient combien à charlie déjà ?
Dans le même genre cette tirade de la ministre de l’éducation nationale vaut son pesant de cacahuètes :
« Même là où il n’y a pas eu d’incidents, il y a eu de trop nombreux questionnements de la part des élèves. Et nous avons tous entendus les »oui je soutiens Charlie, mais« , les »deux poids, deux mesures« , les »pourquoi défendre la liberté d’expression ici et pas là ?« . Ces questions nous sont insupportables ! Surtout (...)