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En réponse à :

Guillaume Kosmicki : « Cette utopie collective n’est pas morte, les yeux brillent encore »

dimanche 16 mars 2014 à 21h03, par Mona

hello , « Ils ne cherchaient plus à s’investir, à participer d’une manière ou d’une autre. » ayant commencé en 97 je peux te dire que c’est pas les grosses teufs de paris ou ailleurs en france qui donnaient envie de s’investir. Perso je pense que c’est retourner le problème. Ce qui a amené l’affluence c’est aussi plus de gros sons ,de drogues (trop) , de biz malsain , du pas si scred que ça etc etc. Heureusement le son était bon aux quatres coins de l’europe. Apres ça fait partie de l’histoire.Et il y encore moyen de faire des teufs plus discretes de 500 persones dans pas mal d’endroits.Mettre 100 sons (...)


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