ARTICLE11

Poster un message

En réponse à :

Aux Glières, « l’homme qui rit dans les cimetières » se la joue preux pèlerin

lundi 12 avril 2010 à 19h27, par Miguel Enfoiros

La dialectique entre le Naboléon et les français a été fixée dès le Salon de l’Agriculture, il y a 3 ans : × le français : "aah touche-moi pas, toi, tu m’salis ! × le président : eh ben casse-toi, pauv’con !" Une dialectique qui n’a pas changé d’un iota depuis, nonobstant les enrobages pralinés. Et pourtant le Lider Minimo faisait là une grosse erreur : il n’y a que le premier qui peut dire au second de foutre le camp.


Un message, un commentaire ?
  • (Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)

Qui êtes-vous ? (optionnel)