De toutes façons si ce quinquennat de combinazione industrialo-politique et de vulgarité médiatico-spectaculaire doit nous apprendre quelque chose, c’est qu’on peut, qu’on doit impérativement juger quelqu’un à partir de son métier, sa couleur de peau, son statut social ou son compte en banque. Les winners, voilà ceux que le petit Sarkozy voulait promouvoir. Les autres peuvent crever la gueule ouverte, il allégeront le coût social de gestion des inactifs, des malades, des immigrés, en un mot, des « inaptes ».
On ne le répètera jamais assez jusqu’en 2012 : Sarkozy n’est pas un homme d’état, c’est juste un (...)