dimanche 30 septembre 2012 à 14h40, par Antimollusques
Cher Docteur B.,
Je me permets de vous répondre en tant que co-auteur de cette entrevue qui vous a visiblement remué. Je ne parlerai pas au nom de Yann Diener, j’essaierai juste de préciser quelques points.
« C’est basé sur quoi ce raisonnement, au doigt mouillé ? » Sans trahir la pensée de Diener, il me semble qu’il distingue ici deux moments du « traitement » du patient, tel qu’envisagé par les TCC : le premier, c’est la suppression pure et simple du symptôme (le symptôme étant la « raison » pour laquelle un patient consulte). Diener dit ici qu’en effet, on peut reconnaître aux TCC ceci : elles sont (...)