Il est très difficile de trouver un avocat (ou une) digne de ce nom lorsqu’il s’agit de défendre le rapport « de classe ». Nous le voyons lors des procès anti-otan à Strasbourg. Malgré leur bonne volonté, les avocatEs restent quand même dans leur « pré carré » et n’osent pas toujours aller « trop » de l’avant. On a bien senti que le terrain était franchement glissant lors des différents procès au Tribunal d’instance de Strasbourg et en Appel à Colmar. Les militants politiques défendus par l’antirép ont plus été aidés par leurs familles, soutien, amis que par la justice. Faire le jeu de la justice, c’est déjà (...)