Je parlais à Marignac. Et je continue. :-)
J’ai pas de copains par chez vous, nope, ça ira ! Je vous connais pas. J’avais presque jamais entendu parler de toutes ces conneries — à part pour le cas Dauvé, sur lequel je m’étais renseigné par ailleurs après avoir lu un article du bonhomme. J’ai du lire trois poulpes, qui trainaient dans des bars en Espagne. J’en ai presque aucun souvenir et je saurais pas te dire de qui ils étaient.
Je constate juste que ta réaction (Joe Marignac, toujours) montre également une prétention incroyable à définir ce qui est bon pour le polar : la même volonté normative que tu (...)