ARTICLE11

Poster un message

En réponse à :

Last exil to Alice Springs

mardi 2 mars 2010 à 22h52, par Timothée Demeillers

Il n’existe pas vraiment. Mais qu’importe : il crée du chiffre d’affaire. Cela suffit à donner à l’art aborigène toutes ses lettres de noblesse, puisque les Blancs - qu’ils soient touristes ou galeristes - en tirent profit. Haut lieu de la représentation fantasmée et du commerce de ce prétendu art des Natives australien, la ville d’Alice Springs, perdue au milieu d’un nul part désertique. Reportage. Une brève présentation, d’abord. Alice Springs est une ville que les hommes ont créé de toute pièce, érigé (...)


Un message, un commentaire ?
  • (Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)

Qui êtes-vous ? (optionnel)