C’est extraordinaire, hein, cette version de l’andante de la sonate en LA D959 de Schubert.
Tu peux comparer avec d’autres versions : il manque toujours quelque chose, ou il y a toujours quelque chose en trop. Mais là, c’est le ton juste, absolument. Je ne sais pas comment le dire autrement... Et c’est aussi extraordinaire que Gould... Un moment de grâce...
Et ce Monsieur a eu des élèves, dont une au moins aussi douée que lui, qui a d’ailleurs joué un concerto pour 2 pianos avec lui. Elle avait 14 ans !
Idil Biret !
Pianiste absolument fabuleuse, aussi, et peu connue (elle s’en fout complètement (...)