Il fait bon lire cela, parce qu’il y a de l’humain, du vrai, de celui qui fait mal et sent, qui est vivant, turbulent, aimant.
Bon sang, c’est un coup de pied, un coup de poing et tout le reste.
Et en même temps, c’est aussi de l’espoir en filigrane, qui n’ose dire son nom.
Bon sang, juste merci quoi.