Il n’empêche que... On aura vu le président de la république virer deux de ses plus proches conseillers (Soubie et minc qui lui avaient garanti que cette réforme passerait sans problèmes) puis s’éloigner de la politique intérieure pour essayer de se mettre en valeur sur la politique étrangère à l’issue de ces grèves...
On aura vu des leaders syndicaux et de partis de gauche électoralistes durcir le ton car ils étaient complètement débordés sur le terrain. C’est ce qui explique que les grèves aient duré aussi longtemps.
On voit aujourd’hui que les dirigeants marchent sur des oeufs quand ils présentent les (...)