Serge, comprenez que si je remue la « merde » (pour reprendre votre formule), ce n’est pas de gaieté de cœur... Une « merde » (nous sommes bien d’accord qu’il s’agit de déjection en effet, cela fait au moins un point commun entre nous) dont, en l’occurrence, je ne suis guère responsable. Si les termes employés et ce qu’ils expriment foncièrement vous dérangent, allez vous en expliquer avec son auteur ! Moi, je me contente de rappeler les faits, qui sont bien plus têtus que vous ou moi ne pouvons l’être. Quant à mon compliment sur sa prose à l’interlocuteur que j’ai interpellé, il est dommage que, par (...)