Merci pour les liens et ces étranges sons hirsutes...
je n’y retrouve pas vraiment la folie créatrice saisie à l’impromptue sur son dictaphone, mais il y a des choses très intrigantes. Surtout, je commence à comprendre que Mister Damasio ne voit pas forcément le son uniquement comme « accompagnement » du texte, mais aussi comme moteur créatif à part entière. Et ça ouvre encore de nouvelles perspectives - l’élixir Damasio fourmille littéralement d’ingrédients...