En effet, ce que tu décris à propos des galeries d’art aborigène, soigneusement gérés par des blancs - exhibants au passage les petites photos des artistes - est on ne peut plus vrai et triste à Alice Springs.
« le plus frappant, ce sont ces ombres qui l’habitent et qui la hantent etc »... En effet mais malheureusement Alice Springs ne détient pas la palme et tu seras encore plus choqué si tu fais quelques milliers de km au nord : à Katherine, l’on se croirait dans un mauvais décor de jeu vidéo américain : des âmes errantes shootées à tous les coins de rues, squattant les arrêts de bus, etc, à regarder à (...)