Beaucoup de crapuleries de ce type ne sont pas nouvelles, bien sûr. L’horreur ici est que ces gens à qui on a volé leurs représentations vivantes d’ici et d’au-delà, ils sont là, à jamais dans le cauchemar, brûlés de chaleur et de sniffs d’essence, poussant des cris d’âme aplatie, tournant de ci de là autour de leurs propres lambeaux, rongés tout vifs par les chiens endimanchés.
Dante, qui voit tout, les a sûrement décrits en son style à lui. Je ne veux pas le savoir. La griffe intransigeante de ce billet s’abat avec précision où il faut, comme il faut.
Écris(-nous) encore, Thimothée, s’il te (...)