« Le commerce des rusés et le bonjour des simples », écrivait René Char. On se croirait presque dans un vieux film noir des années 50, où Gabin serait un résistant taiseux, et où la Signoret s’apprêterait à te changer ton veston, pour que tu repartes tranquille. Wilkommen in Paris, Frank(3e)Reich, 2010. Retour sur trois jours de manifs et de rassemblements.
Samedi, le No Sarkozy Day fait un four. « Objectif : un million ! », clamaient les facebookiens 2.0. A Paris, à peine deux mille personnes. Des (...)