@ François :
Que ce soit pour J. Rancière (qui écrit des choses forts intéressantes) ou n’importe quel autre « intellectuel », la dialectique entre la dimension de l’expérience vécue et du discours me semble essentielle, surtout lorsque l’on parle de politique, de social(-isme) et d’émancipation. Dans les faits, sûr que nous chions tous sur la malbouffe mais que nous ne consommons que de la merde anti-écologique et anti-sociale.
Quant à la question du spectateur émancipé... J. Rancière n’invente rien. R. Hoggart ou encore M. de Certeau ne disait pas plus que lui et l’idée d’une appropriation de la (...)