Les propos de Floréal sont disqualifiés par son racisme pathologique.
Il n’empêche que l’apologie du viol comme arme de la révolte est navrante et que les femmes « révolutionnaires » attendent (vainement) des « anarco-gauchistes » une participation à la lutte anti-patriarcale.
Les guillemets sont là parce que ces qualificatifs sont seulement des synthèses imprécises.