bonsoir Article11,
voir le conflit israelopalestinien à travers le prisme de l’histoire, c’est rester tributaire du « principe de causalité », alors, pourquoi ne pas remonter dès lors à la cause suprême, à savoir « Dieu » ?le principe de causalité implique d’une part une régression à l’infini, et, d’autre part, incline à chercher des « responsables » aux faits historiques...ce que Nietzsche appelait le « faitalisme »... générateur de ressentiment d’ailleurs (trouver un coupable ou une « cause » à ce qui nous fait souffrir)... il convient plutot, pour bien aborder le problème israelopalestinien, de substituer au (...)