En fait, si l’aspect insurectionnel du mouvement grec n’a, bien entendu, rien de comparable avec ce qui se passe ici (quoi que, le mouvement anti CPE en était assez proche, au fond), la division qui règne, entretenue, je te l’accorde, par les syndicats et surtout par un PS grec bien plus intéressé par le maintien du système et les postes qui vont avec que par l’état social de la Grèce, la faiblesse due au manque de réel soutien populaire (soutien de forme, mais pas physique) et le manque revendicatif, axé sur des détails de participation capitalistes (plus de 600 euros de salaire pour les jeunes, (...)