Belle analyse. Je n’ai entendu ou vu nulle part développer cette analogie avec Mitterrand. Et je la trouve plutôt très convaincante. Décalcomanie mitterrandienne, mais sans la classe ni que la sauce prenne. C’est très révélateur, en fait.
(Et puis, aussi, tu m’as permis de revoir la photo du Sarko-media-tour en Camargue. Le cliché est tellement bien que je ne résiste pas au plaisir de le remettre ici :
Quelle bande de débiles…)