N’ayant pas lu l’underdaube en question, je réserve mon jugement, même si j’ai l’impression que ça ne peut pas être aussi horrible que tu le dépeins. Je comprends pour Le Dahlia noir, plus austère et parfois longuet. Par contre, bordel, des bouquin comme White Jazz, Brown’s Requiem ou les trois de la trilogie Loyd Hopkins (Lune Sanglante, A cause de la nuit, La Colline aux suicidés) sont des tueries fort gouleyante, et je pèse mes épithètes. Malsains, personnages immondes, parfois indigestes, je te l’accorde volontiers, mais n’empêche qu’ils prennent aux tripes et que, pour moi, Ellroy s’y révèle comme (...)