lundi 8 février 2010 à 11h56, par Serge Quadruppani
Louanges unanimes, ou presque. « Ellroy le génie » par ci, « Ellroy le grand du noir » par là : ses laudateurs ne font pas vraiment dans la demi-mesure… Underworld USA, dernier opus, n’est pourtant qu’une version américanisée d’un (mauvais) SAS. Personnages pauvres, postures réac, style lourdingue : pas grand chose à se mettre sous la dent. Pourquoi tant d’amour, alors ? Mystère…
Salué comme un chef d’œuvre par la critique unanime (à l’exception notable de Denis Robert dans Siné-Hebdo), Underworld USA, de (...)