L’anecdote est délicieuse et... tout à fait exacte. D’un de ses biographes :
« C’est Jean Vincent qui a l’idée de chez Drouant. Cet excellent journaliste, de la vieille école, au corps atrophié, le chic dégingandé uniquement entretenu au whisky, y loge parfois sa garçonnière. Nourriture succulente. Service d’hôtellerie soigné. L’Imprévu va y tenir table ouverte, les deux dernières semaines de sa préparation, et puis encore le soir, après le bouclage, à partir du 27 janvier 1975, et ainsi jusqu’au jour du naufrage. Le douzième jour, hélas, tout est dit. Après onze numéros, le quotidien s’arrête, offrant une (...)