Pour y vivre, je trouve quand même que ce tableau dépeint une réalité un peu trop idyllique et fantasmé. La plaine d’aujourd’hui, c’est aussi et surtout des arbres de plastique, des déchets partout, des bonnes odeurs d’urine et d’oxyde de carbone, des rats, un parking géant, des bruits de klaxonnes, de l’affichage sauvage, des tags pas vraiment artistiques, des piétons qui n’arrivent même pas à se croiser sur les trottoirs pour s’y rendre, des vélos qui galèrent entre les bagnoles, (...)