Merci à Pierre Souchon pour ces lignes courbes et droites, pour ces vacillements entre raison et déraison, pour ces fractures de la sensibilité qui plongent dans nos ressemblances.
Merci à toi d’avoir rappelé que s’il existe des psychiatres et des soignants pervers, hautains, vétérinaires, il y en a aussi d’autres qui n’ont pas oublié qu’ils ont été enfants, qu’eux aussi ont hurlé, en silence ou à pleine voix, qu’eux aussi éprouvent, parfois, ces cyclones ravageurs. Et qu’ils sont pourtant là, solides, pour qu’on s’accroche à eux quand tout fout le camp.
Et merci à Article XI de nous offrir tes (...)