« Il ne s’agit pas consommer du bonheur de supermarché, mais de créer pour soi et pour tous un espace et un temps affranchis de l’emprise de la marchandise. Le bonheur est un combat, non une denrée. »
Comment dire ? j’aime ton texte, tout simplement. Quand je sens en moi monter l’angoisse, l’étouffement, l’impression de patauger dans la boue, je relis Vaneigem.