Chouette article qui remet bien en perspective les récentes révolutions arabes, et les réactions qui s’ensuivent. Et puis l’Algérie, on n’en parle pas trop, finalement.
Au-delà des questions relatives à la place et au rôle de l’État (postcolonial), je m’interroge sur les formes concrètes et la composition sociale des résistances et des mouvements populaires, et ce qui fait qu’à un moment ça bascule ou pas.
Sans prêcher pour ma paroisse, je trouve que les questions soulevées par Alain Hugon pour la révolution napolitaine de 1647-1648 sont éminemment d’actualité (même s’il s’agit d’une société d’Ancien (...)