Perso, comme c’est étrange, je ne vois aucune différence entre un boys band quelconque et n’importe quel groupe ou musicien de la scène Française (et pas seulement) qui se produit en ce moment (et même avant). Particulièrement parmi celles et ceux qui se présentent comme « engagés » : c’est l’ennui, la sublimation décevante de la tension sociale et le respect confit de tout ce qui existe dans la lumière du spectacle avec l’ambition cachée d’y apparaitre un jour. « De quoi dégueuler, vraiment » comme disait Léo (...)