Cela révèle tout à la fois le cynisme et la courteur intellectuelle de Sarko : car il y a un monde entre l’extrême gauche et l’extrême droite, et que le parallélisme des formes n’est qu’apparent.
Parce que la contestation n’est pas que le fait de dissidents d’ultra-gauche, mais elle est réelle, ancrée, des communistes aux gaullistes.
Parce que Mitterrand a pris des communistes au gouvernement, sans adopter de projet révolutionnaire. Sarko n’a pas enrôlé Marine Lepen, mais les idées de cette truie ont tellement transpiré au sein de l’Union des Mercantiles et des Pétainistes, que la xénophobie, le (...)