Parfaitement d’accord sur le fond, reste que le business le plus florissant aujourd’hui, du moins dans le sud de l’Italie et en passe de le devenir à Marseille me suis-je laissé dire, n’est ni la came ni la prostitution, mais la « gestion » des déchets... et là, la légalisation ne peut plus rien régler. L’état si, en contrôlant ce qui doit être contrôlé... autrement dit en tapant haut, y compris dans ses propres rangs. Voeu pieux du soir...