cher joseph,
permets-moi de faire mon autocritique car ce matin j’ai enfin compris : j’ai emmené mon A11 au troquet (ce qui m’a permis l’air de rien de « relier Paris à Nantes depuis le Péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines jusqu’à Nantes via Le Mans et Angers », m’informe wikipédia) et ai constaté qu’outre cette profusion typographique, en fait tous les codes que m’avait patiemment inculquée l’intelligentsia graphique post-miedingerienne (du nom du créateur de l’helvetica, la police (ah !) visant à atteindre « l’harmonie optique la plus aboutie possible ») étaient volontairement et méthodiquement ignorés, (...)