Soral n’est pas pire loin, s’en faut, que les « journaleux » accrédités par l’establishment. Ces complaisants porte parole sont le plus souvent chargés de travestir la réalité pour la rendre conforme au desiderata des piètres, représentants d’une pseudo démocratie universelle. En vérité, nos « très chers » élus sont inféodés à une minorité despotique et prédatrice. Je préfère compter parmi les milliers d’auditeurs « gogos » de Soral plutôt que d’être noyé dans la masse des moutons « lobotomisés » par les serviles saltimbanques du système.
« Il y aura toujours dans la foule un crétin qui, sous prétexte qu’il ne (...)