Non, mais c’est clair que ça joue : les idées que porte Fakir parlent à bien davantage de gens que les nôtres. Mais si ce canard marche, ce n’est pas seulement - je pense - parce qu’il correspond à un mouvement d’idées un peu puissant. Outre la question de la qualité des papiers, il y a celle de l’énergie investie, de la capacité à aller au-devant des gens. Voire une façon de traiter l’aspect commercial des choses comme faisant partie intégrale du journal.
C’est anecdotique, mais j’ai vu quelquefois François Ruffin vendre Fakir en manif - il était d’une efficacité impressionnante, réussissant à en écouler (...)