« Vingt ans plus tard, des « extrémistes » bien équipés proposent un réaménagement urbanistique à New-York. »
Je ne rigolais qu’à moitié... le malheur des uns (familles des victimes et contribuables américains) fait le bonheur des autres (cabinets d’urbanismes et d’architectes, entreprises de BTP, tour-opérateurs, etc.). L’assistance fédérale fut de 10 milliards de dollars, formidable transfert du public vers le privé : un bel exemple de « destruction créatrice » comme l’entendait l’économiste Joseph Shumpeter. Ground Zero est devenu, d’une part, un haut lieu du tourisme new-yorkais et, d’autre part, l’occasion (...)