Ton fin odorat est mon bonheur, je m’incline une fois de plus, les oreilles en avant et le nez en arrière. Et puis, j’en profite pour replacer cette formule de Kierkegaard (même si je n’ai jamais rien lu de lui...) :
Dieu sait que mon âme est exempte de férocité et je crois avoir au plus haut point conscience de devoir me justifier devant Dieu ; et pourtant, je serais prêt, au nom de Dieu, à prendre sur moi la responsabilité de crier ’Feu’ pour peu que je me sois assuré auparavant avec la rigueur la plus scrupuleuse, la plus minutieuse que les canons des fusils ne seraient braqués sur aucun être (...)