Je pense que c’est parce qu’elles sont réductrices, c’est ne pas (vouloir) voir l’ambivalence du capitalisme et de sa technologie, qui, comme le dit l’auteur, libère d’un côté, pour mieux nous enfermer dans son pouvoir totalitaire de l’autre. On peut critiquer l’aspect marchand et autoritaire de la technologie, tout en utilisant ses failles libératrices, en la détournant de sa fonction de maintien de l’ordre. Cela dit pour les Smartphones je suis d’accord avec la question, parce que je sais même pas ce que c’est un Smartphone. La propagande n’est pas encore arrivée jusqu’à ma caverne (...)