Vous imaginez mal, je crois que nous ne nous comprenons pas bien.
Je n’ai pas « adulé » Charlie. C’est le premier journal que j’ai lu, et j’ai cessé de le lire peu après la fin de mon adolescence, parce qu’il ne me faisait plus rire, parce que les éditos de Val devenaient d’une lourdeur qui me faisait fermer le journal très vite, parce que développant une vison politique des choses que je n’avais pas avant, je trouvais les positions de Charlie de plus en plus pauvres. Je ne connais Hara-Kiri que par la réputation qui en est faite. J’ai aimé « le bête et méchant », je le trouve aujourd’hui vraiment bête (...)