En parallèle :
A lire :
« Le pire est-il toujours sur ? La réponse est assurément non, il est seulement possible. Mais une constante s’est manifestée depuis le début de la crise, qui ne se dément toujours pas : les bonnes solutions ont été systématiquement écartées au profit des mauvaises. Protéger à tout prix le système financier a été érigé en priorité, en tentant de faire croire que l’instrument du désastre était le sauveur. Une aveugle fuite en avant a tenu lieu de politique, laissant se poursuivre l’implosion du système et exposant de manière caricaturale le cousinage au premier degré des représentants (...)