Je parlais de la traduction en anglais de l’Ecclésiaste. Je croyais que c’était clair. Je ne crois pas faire l’éloge du pillage. Je pense juste que les choses n’arrivent pas par hasard. Cette analyse n’est certainement pas la dernière vérité. Je n’ai pas ce genre d’ambition. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas de savoir si les émeutiers sont de gentils garçons ou s’ils sont subversifs, mais de savoir pourquoi un tel phénomène prend place dans un lieu qu’on annonce comme un paradis sur Terre. S’il y a un paradis, c’est celui de la consommation. Quand aux pogroms et aux lynchages (ce ne sont pas des mots (...)