Tu fais bien de souligner combien les choses n’ont peut-être pas tellement changé, combien c’est juste leur porte-voix et nos oreilles qui font défaut. Tu as un grand avantage, là, comparé au triste parisien que je suis : tu as les pieds dedans et tu suis au jour le jour les soubresauts d’une actualité - notamment industrielle - qui n’a guère cours dans la région parisienne. Mon petit bout de la lorgnette n’est pas toujours la meilleure façon de rendre compte d’une situation.
« Enfin j’sais pas quoi... tu vois c’que je veux dire ? »
Oui :-)
(Et j’adore ta (...)